L’EAU – S’M - OSE
Elle héberge les poissons, soutient les navires, nous lave, constitue le sang, nous hydrate de l’intérieur, nourrit les plantes, éteint le feu. Et quoi d’autre ?
Qu’est ce qui la rend si vitale pour notre Planète et la Vie qu’elle héberge ? Est-elle essentiellement boisson pour l’hydratation, recharge pour nuages ?
Depuis les années 80, une polémique tient la scène sur une potentielle capacité de mémoire (stockage) et de communication de l’eau par restitution d’information.
Viktor Schauberger, Marcel Violet, Théodor Schwenk, Masaru Emoto, Jacques Beveniste, et plus près de nous, Luc Montagnier, prix Nobel de Médecine, tous chercheurs, scrutent cette matière dans ses propriétés singulières, au-delà de l’approche strictement physique ou chimique, à savoir :
L’aspect médiateur de l’eau, perceptrice de son environnement, dont elle semble capable de conserver une trace.
La théorie des Champs quantiques bouleverse notre regard sur les interactions entre matières, sur la notion d’espace-temps et de distance. Ce que nous avons l’habitude d’observer dans le macrocosme, depuis la physique classique, diffère dans le Monde des atomes, des molécules, de l’infiniment petit.
Des Lois spécifiques régissent et prévalent dans cet Univers, invisible à nos sens communs, se jouant à l’échelle des atomes dont nous sommes constitués.
L’eau est concernée par ce plan subtil. En raison de sa structure moléculaire, elle affiche la propriété de s’organiser sous l’effet de la lumière et de champs électromagnétiques. Elle crée ainsi des domaines de cohérence.
Que sont-ils ? Schématiquement simplifié, cela se résumerait à considérer plusieurs millions de molécules d’eau qui se mettent en phase, à l’unisson, pour ne former qu’une seule entité capable de se comporter de manière coordonnée sous l’effet d’un champ électromagnétique. L’unité capte le champ et oscille avec lui. Par ce mécanisme, dans une seule goutte d’eau, nous retrouvons des milliards de champs de cohérence coexistant et un grand nombre d’autres molécules indépendantes de ces champs.
Dans ce schéma avancé, certains pratiquent « L’eau diamant », le lien à la Source, ça vous parle ?
Imaginez des bancs de poissons nageant ensemble, de façon coordonnée, d’un seul mouvement, dans un même océan où des milliers d’autres poissons, simultanément, évoluent indépendamment, le tout en harmonie.
Vous préférez les airs ? Que pensez-vous de l’image splendide des oiseaux migrateurs en déplacement en groupe dans le ciel, dans un ballet extraordinaire de fluidité ? Grues, cygnes, oies, canards qui se déplacent ensemble par centaine mais tel un seul.
La découverte de ce domaine de cohérence pour l’eau est fondamentale :
- Elle donne un sens aux travaux sur la mémoire de l’eau,
- Elle montre que les champs peuvent avoir un impact dans le déclenchement de réactions biochimiques,
- Elle décrit un des modes de communication cellulaire car les champs de cohérence se stabilisent au plus près des membranes cellulaires.
Un corps humain, 10 000 milliards de cellules, est composé en moyenne de 70% d’eau, volume variant avec l’âge, le mode de vie, la santé … eau de structure cellulaire, transport de nutriments, évacuation de toxines, régulatrice de la température corporelle, réactif biochimique essentiel (enzyme), conformatrice de molécules telle ADN, messagère pour les protons …
Cette matière n’est donc pas juste vectrice mais constitutive et médiatrice.
Qui dit organisation dit communication entre les matières car l’absence de communication induirait le chaos.
Seulement, comment l’eau, omniprésente en tout milieu vivant, transporte-t-elle l’information pour permettre le déclanchement de milliards d’évènements biochimiques se produisant à tout instant dans un organisme ?
La Nature se pose sur des codes pour fonctionner. Nos cellules s’organisent selon un code génétique par exemple. Tout code nécessite un support, matériel ou sous forme d’ondes. Ces codes constituent un langage. Concret et subtil à la fois.
L’agencement dans la cohérence des champs représente les éléments de codages destinés aux molécules organiques. Agir sur ces agencements revient à modifier l’information qu’ils transportent.
Nous pouvons aller beaucoup plus loin dans l’approche de ce phénomène mais déjà, ici, offrons-nous ces questions :
- Quels sont ces codes qui me construisent, me modèlent, me transportent, me déforment et m’accueillent dans mon évolution permanente ?
- Ai-je l’autonomie sur cette codification et son activation ?
- Ces codes m’appartiennent-ils vraiment ? sont-ils héritage ? bénéfiques ou limitants ?
- Puis-je modifier un code pour me renouveler différemment ?
En ce domaine d’investigation, les Elixirs, les Solarisations, ont toutes leur place.
Véritable eau informée, leur message entre en résonance avec nos cellules imprégnées d’eau de vie et leur rencontre impulse une mise en mouvement, une création nouvelle, une impulsion, une mise à jour.
Je vous en sers quelques gouttes précieuses ?