Date : 21 septembre
Horaires : de 8h à 16h
Lieu : Le Tampon – Les 3 Kiosques
Texte : Les addictions répondent à un programme qui prend la main sur la volonté propre, parlons-en pour découvrir, comprendre, déculpabiliser, rééduquer, retrouver une liberté de choix sains !
Dans le cadre du mois de prévention du Syndrome d’Alcoolisation Fœtale (SAF), l’association SAF France organise deux événements forts en rencontres et en sensibilisation, à l’occasion du SAFTHON 2025.
Deux journées pour rassembler professionnels, associations, familles et grand public autour d’un objectif commun : mieux informer pour mieux prévenir les risques du Syndrome alcoolique fœtal.
Syndrome Alcoolique Fœtal : et si notre comportement addictif était un appel à la vie ?
On parle souvent des effets visibles du Syndrome Alcoolique Fœtal (SAF) : troubles de l’attention, impulsivité, difficultés relationnelles, instabilité émotionnelle… Mais trop peu de la racine invisible qui s’y attache : cette mécanique de survie née dès l’enfance, dans un corps déjà en état d’alerte.
Et si nos comportements dits “addictifs” n’étaient pas des fautes à corriger, mais des réponses ingénieuses – et vitales – à un monde perçu comme dangereux, instable, insécurisant ?
Et si, au lieu de juger, on écoutait ce que le système nerveux a mis en place pour tenir debout ?
Je vous invite à une série de conférences sensibles et vivantes pour explorer une autre voie : celle des injonctions inconscientes forgées dans l’enfance, selon les éducations reçues, les silences et les absences, les surcharges aussi…
Car derrière le SAF se cachent souvent des blessures d’attachement, des instincts protecteurs mal compris, une immense fatigue d’avoir dû survivre trop tôt.
Pas de culpabilité ici. Pas de honte. Juste une envie : celle de comprendre. Celle de transformer.
Celle de dire oui, enfin, à une piste de libération durable.
Si tu te sens concerné(e), de près ou de loin, ou simplement curieux(se) d’en savoir plus sur ces passerelles entre neurologie, comportement et histoire de vie, viens.
C’est peut-être là que commence un nouveau regard.
